Oui, finalement, je pense être guérie de ma maladie mentale, j'ai de très fortes présomptions et même une convergence d'indices.

Revenons au point de départ de ma dernière catastrophe, qui aurait bien pu mettre un point final à ce parcours et à ma vie aussi. Le 25 novembre 2020, alors que la nuit venait de tomber, j'ai eu un accident stupide sur la piste cyclable mixte, pour avoir voulu marcher 500m jusqu'à super U acheter des piles, au lieu d'y aller en voiture. Pas d'éclairage. Peut-être qu’un jour, j’aurai des explications sur cette subtilité ? Les réverbères ne s’allumaient plus depuis longtemps sur cette zone qui, pourtant dessert les bâtiments pour l’accueil de plus de 300 personnes. Je veux parler du CADA ADOMA, Centre d’accueil de demandeurs d’asile. J’ai d’ordinaire une bonne vue dans l’obscurité. Possible qu'un nuage soit passé par là. J'ai fait un vol plané à cause de racines bien vivantes d'une souche de sapin, rectification faite, des racines de thuya et j'ai atterri sur 2 autres ! Une pour la côte droite sous le sein, l’autre pour ma cuisse droite. Une ligne droite d’environ 20 cm de long que je n’ai toujours pas comprise. Mon front a embrassé le macadam, et dans un second temps, ma tempe droite a aussi fait sa connaissance. Un traumatisme crânien et des contusions. Je dois aux recommandations du 15 et au fait d'être sous anticoagulant, d'avoir été emmenée par les pompiers aux urgences de l'hôpital. Cet accident a bien failli me coûter la vie. Un des impacts était sur la limite de l'orbite de l'œil droit. Lunettes cassées, téléphone choqué, surtout la batterie, et le cerveau aussi ! On a tout chez le même assureur, mais la multi accident personnelle n'était pas dans notre package. Bon, 2 ans après, mes frais ont été pris enfin pris en charge. Comme quoi, la persévérance paie.

Je ne savais pas qu'un traumatisme crânien, cela traumatisait autant. Sur le coup, mon instinct de survie s’est réveillé XXL ! J’ai immédiatement décidé qui appeler et dans quel ordre. Mais très vite, la confusion s’est installée, j’ai composé par exemple le 17 au lieu du 18. J’ai cependant instantanément compris qu’il fallait prendre des précautions en me déplaçant, dès que l’on m’a aidée à me relever. Je vais passer sur la prise en charge à l’hôpital, un bilan et un scanner pour s’assurer qu’il n’y avait pas d’hémorragie cérébrale. Puis, 3 jours plus tard, un 2^ème quand je suis revenue à l’hôpital, pressentant une rupture du côté de la tempe. Scanner justifié et infirmière surprise que ma cuisse ait une grosse bosse ! Qu’est-ce qui vous est arrivé d’autre ? Rien de plus, c'est la suite du même accident. Ça s’est arrêté là. J’avais consulté entre temps un ostéopathe qui m’a débloqué les retours veineux et lymphatiques, le choc m’avait un peu déplacé la hanche. Sinon la bosse aurait été bien plus grosse encore !

Comme les autres personnes choquées à côté de moi, à la suite d’un accident, j’ai eu besoin de parler, et d’être écoutée. On ne s’en est pas privées dans la salle d’attente des urgences sur nos brancards. Boire de l’eau, beaucoup d’eau. Parler, vider notre sac à propos de la cause de l’accident. La communauté de communes... jamais responsable de rien.

Je me suis découvert une perception que je n’avais encore jamais eue. Quelques jours après, en discutant avec le pharmacien, j’ai appris qu’il s’agissait de proprioception. Je ne savais même pas que cela existait ! J’en ai tiré des avantages comme par exemple, rattraper au vol un objet que j’ai déséquilibré et qui commence à tomber, avant même de l’avoir vu ! Je ne me connaissais pas de tels réflexes ! Quand je pense à tous les ballons que j’ai pris en plein thorax, quand ce n’était pas dans le visage, dans la cour de récréation de l’école primaire...

En rentrant chez moi, j’ai été très surprise d’envies alimentaires, rien qu’en voyant un fruit, un légume, une viande, poisson, etc. dont certains m’étaient inconnus, et même des boites de conserves à la supérette turque près de chez moi ! Comme à mon habitude, j’ai cherché à comprendre et j’ai donc demandé à Google pourquoi. Par exemple, patate douce, céleri branche, œuf, ail des ours, foie, dattes, bienfaits, etc. J’ai pris des exemples au hasard dans ce que j’aime. Et j’ai pu constater que ceux-ci correspondaient à mes besoins du moment. Ce n’était pas une première découverte, j’avais déjà remarqué auparavant que lorsque j’avais envie de manger quelque chose, c’était bon pour ma santé. En discutant, une de mes cousines m’a dit avoir observé la même chose. Mais depuis cet accident, les envies étaient devenues pressantes. A chaque fois j’ai vérifié, et je me suis donc alimentée en suivant cet instinct alimentaire. Je reconnais que c’est bien pratique. J’aurais pu tout noter au fur et à mesure, mais ne croyez pas qu’un traumatisme crânien n’a que du bon ! 😉 Mon cerveau a été dans un état d’agitation tel que j’en ai été bien incapable, occupée à essayer de garder le contrôle !

Je suis retournée à plusieurs reprises à la gendarmerie pour déposer une main courante. Parce qu’on ne me l’a pas proposée tout de suite quand j’ai voulu porter plainte. Oui, je n’ai pas l’habitude. J'ai rempli un formulaire en ligne de déclaration d'accident aupres de la CPAM parce qu'une de mes soeurs me l'a conseillé une semaine après l'accident Cette information pourrait être donnée à l'hôpital,  par exemple. Sinon, je n'aurais pas su que cela existait. Je n'ai pas pu écrire la lettre à l'organisme responsable de la piste cyclable avant plusieurs mois. Bon, pour ce que ça sert... Du propriétaire de la haie à la commune, puis communauté de communes... Cela n’a pas été des plus simples... Tout ca pour apprendre, un an plus tard, par le Tribunal Administratif de Paris que la Communauté de communes n'était pas responsable parce que personne n'avait signalé la présence de ces racines sur la piste cyclable. Je vous épargne le reste de mes démarches. Le dossier sécu, les échanges de courrier, etc. Je me l'épargne aussi, pas du tout envie de réagiter le bocal ! Les démarches orales, pour moi, ça allait. Cela ne m’a pas semblé être le cas pour mes interlocuteurs plutôt dubitatifs. Je ne peux pas dire que l’on m’ait réservé le meilleur accueil. Soyez victime et aussitôt, on met en doute votre parole,  quand on ne vous accuse pas...

J’ai reconnu sur moi les symptômes d’une personne qui avait un TDAH quelques années avant ! (Bien soigné, apparemment) J’ai ainsi pu comprendre de l’intérieur, des réactions que je trouvais alors excessives, et même plutôt exagérées. Même avec de la bienveillance, parfois, je trouvais qu’elle dépassait les bornes. Je me suis retrouvée avec une agitation interne permanente, incapacité ou grosses difficultés de mener à bien des tâches demandant de l’attention, continuité et persévérance, même simples comme faire le ménage par exemple. Perturbant aussi la prise de décision, l'élaboration etc. Des enchevêtrements de pensée pour des problèmes jusqu’alors simples. Des réactions très impulsives. Je me demande d’ailleurs si ce n’est pas un mode qui prend la main automatiquement quand on est dans l’impossibilité d’analyser une question. Oui, sans action, comment avancer ? Bien entendu, personne n’y a vu que du feu en dehors du fait que j’avais souvent, pour un oui, pour un non, envie de partir, de fuir, m’échapper et que je suis partie. Il est probable qu’on ait attribué mes troubles à ma pathologie psychiatrique. D’ailleurs, la psy m’a même prescrit un antipsychotique, que je me suis empressée de ne pas prendre. Eh non, ce n’était pas du tout la même chose qu’une phase maniaque ! Je suis catégorique !

TDAH XXL ou BORDERLINE, je ne sais pas ! 😲 Mais c’était comme si j'étais entrée dans un cyclone et que me cramponnais à ma branche pour garder un peu de contrôle ! Ou encore que je me trouvais sur un grand 8 et que le véhicule que j'occupais faisait de temps en temps des sorties de rail pour finalement réintégrer le circuit  ! 

J’ai continué à être présente sur les réseaux sociaux, où on n’a pas besoin de développer des choses trop complexes. Ce qui m’a été bien utile, car j’ai des contacts compétents et bienveillants. Cela va probablement vous surprendre de me lire avoir bénéficié du contexte COVID pour commencer à avoir une amélioration de mon sort. Avec tout ce que j’ai ainsi appris de la vitamine D, des conseils très avisés de spécialistes, et aussi l'aide à la pharmacie et bien sûr de mon médecin généraliste pour prescrire les médicaments et analyses biologiques, j’ai pu me protéger de la sur-inflammation due au traumatisme crânien, en cherchant à me protéger d’une éventuelle inflammation lors des vaccinations ou d’une infection. Et par mon alimentation, bien sûr.

Sans compter les interactions avec les personnes de mon entourage... Les conflits intérieurs et extérieurs n’ont pas tardé à s’aggraver. Mes problèmes devenant de plus en plus inextricables et sans solution. Le temps passait et je me suis surprise à me retrouver en mode automatique, avec des pulsions suicidaires. Devant la situation, je me suis rendu compte que non, je ne voulais pas ça. Parfois, un « bonjour », un sourire d’une personne croisée sur le chemin m’a ramené à la réalité. Les personnes qui ont mis un "j’aime" à mes photos de ces souvenirs n’ont probablement pas imaginé que c’était pour expulser et garder la trace de ces évènements. Et surtout leur donner une belle issue.

Tout a une fin, et c’est début octobre 2022, après avoir mangé une salade traiteur, qu’une intoxication alimentaire m’a sauvé la mise. C'est le comble !😊Bien indirectement, je dois le préciser. Après avoir été malade 3 jours, je suis allée à la pharmacie demander quelque chose pour me remonter les défenses immunitaires. Oui, je garde toujours en tête la phrase de Marion Leboyer : "40 % des pathologies psychiatriques sont dûes à des dysfonctionnements immunitaires". Je rectifierai après si j'ai mal mémorisé. Après une telle agression, j’en avais bien besoin, d’après moi, comme après un traitement antibiotique. C’est comme ça que je suis repartie avec une boite de Ergyphilus plus, pour un mois de cure. Le mois suivant, j’ai constaté que mes difficultés commençaient à disparaitre. Y compris les pulsions suicidaires. Le 9 mars 2023, forte de l'information donnée par Joel Doré, lors de la conférence à la Cité Internationale de Gastronomie de Lyon, que les probiotiques ne s'installent pas dans le colon, contrairement à ce que je pensais,  j’ai fait une nouvelle cure d’un mois et ! Je n’ai plus eu de symptômes du tout. J’ai pu de nouveau me concentrer, avoir de l’attention, et même recommencer à écrire, rédiger des documents, suivre des conférences, et bien d’autres choses ! Merci Joël Doré pour vos bons conseils et votre bienveillance.

Je vous vois venir, vous imaginez peut-être que je raconte n'importe quoi ! Et mon poster déposé fin août 2022 pour le congrès de psychiatrie ?  Comment je l'ai fait ? Très simple, j'avais rédigé l'article "Ma représentation du rétablissement" pendant l'été 2020, donc avant l’accident. Tous les ingrédients étaient déjà élaborés et assemblés . Ne restait qu'à le réagencer pour m'adresser plus spécifiquement aux psychiatres pour en faire un poster. Lors du CFP 2022 en décembre, le processus avait deja bien progressé.

Alors, pour savoir ce que toutes ces actions : alimentation, vitamine D3,  Ergyphilus plus ont soigné : maladie mentale pas complètement guérie, troubles dus au traumatisme crânien ou les deux à la fois, je suis bien incapable de trancher. Je laisse cela aux spécialistes. La seule chose dont je suis certaine, c’est que j’ai retrouvé la santé.

J’allais oublier de vous dire. En 2021, mon médecin généraliste me mesure et découvre... que j’avais perdu 4 cm ! Après une radiographie de la colonne qui a montré une double scoliose et plus, « On n’arrive pas à voir... » j’ai eu droit à une densitométrie osseuse. Ouf, je n’ai pas d’ostéoporose. Mais j’ai eu droit à la prescription de cholécalciférol, vitamine D3, pour éviter que cela arrive. C’est ainsi que j’ai commencé les séances de kinésithérapie en balnéothérapie. C’est bien tombé, si je puis dire, quelques temps après mon accident où j’ai hérité de la proprioception ! Auparavant, quand le kiné me disait tenez-vous droite, eh bien, je penchais à droite et je n’en avais pas conscience. Le plus fou, alors à mes yeux, était que je me sentais pencher à gauche, quand il me positionnait debout selon la verticale. Bon, je ne vais peut-être pas récupérer un cm, mais j’essaie... mais en attendant, maintenant je me tiens droite ! J’avais déjà prévu le coup avec un sac à dos au lieu d’un sac à main.

Que Ergyphilus plus, cocktail de probiotiques "Immunité" ait éliminé mes troubles, cela m'a particulièrement intriguée. Il a au moins donné le dernier coup de pouce, je pense, et probablement plus. J'ai voulu comprendre. Qu'est que j'avais pour le faire ? Mon dossier médical, tout mon historique de santé, mes résultats d'analyses en particulier. J'ai pris le temps de rassembler tous ces éléments dans un tableau Excel, en choissant les globules blancs, la vitesse de sédimentation et la CRP, protéine inflammatoire, comme mon parcours était jalonné d'infections diverses et variées. Et beaucoup ! J'ai fait avec ce que j'avais, ce n'est pas moi qui ait prescrit, sauf la dernière, que je me suis payée ! Construire ce tableau, ce fut fastidieux, mais le résultat en valait la peine. On voit bien mieux les choses dans un condensé, le mien s'étale sur... 41 ans !!! Parce que je n'avais pas les traces de mes numérations de formule avant 1982. J'ai quand même eu en mai 2023, pour la première fois, ma CRP et mes globules blancs dans la fourchette normale, simultanément ! C'est pour moi un SCOOP ! 😃

J'ai ainsi découvert que Ergyphilus confort ne m'avait pas empêché de nouvelles infections urinaires hautes, comme je le croyais. Par contre, mes fuites urinaires, elles, n'ont pas recommencé. Les ruminations, non plus. J'ai aussi eu des périodes où ma CRP s'était normalisée. Ce qui s'est passé fin mai m'a permis de mieux comprendre.

Bien que je prenais, comme prescrit, 2 Macrogol tous les matins, depuis largement plus d'un an, je me plaignais encore de constipation chronique, et je cherchais toujours une solution par l'alimentation. J'ai flashé quand j'ai vu un énorme étalage d'emballages de cartons gonflés de dattes au supermarché et j'ai trouvé mon bonheur avec 7 dattes tous les matins, bonheur bien précaire, il faut le dire, parce que j'ai aussi gagné 1 ou 2 kg. Je suis donc redescendue à 3 dattes/jour, puis arrêt. Car prendre du poids faisait augmenter la pression de ma PPC et j'aimerais bien ne plus en avoir besoin... Fin mai, j'ai commencé à me sentir très mal, je ne sais pas comment ça a dérivé de nouveau. Un après-midi et la nuit suivante, je ressens une douleur abdominale forte, côté gauche, avec des frissons. Dès le matin, comme c'était lundi férié, je pars aux urgences de l'hôpital. Parce qu'on m'avait mise dans la filière longue après les traumas et la pédiatrie, le diagnostic est tombé en fin de journée. Pyélonéphrite avec fièvre sur fond d'occlusion intestinale... C'est encore pour le rein gauche !! A l'hôpital, j'ai même eu des palpitations à chaque poussée de fièvre. On m'a aussi interdit de boire tout l'après-midi au cas où on devrait m'opérer ! Je comprends mais me retiens de rire, surtout maintenant que c'est du passé. On me donne ce qu'il faut et je repars chez moi tard dans la nuit, après un scanner abdominal et une prescription adaptée. Je savais que ce problème de constipation agravée est dû à mon anticoagulant Xarelto, je l'avais d'ailleurs noté dès les premières semaines de prise en 2017. Mais je croyais qu'il n'existait d'autre alternative que Préviscan qui m'avait valu un AVC ischémique... sinon...

Je n'ai pas réussi à joindre ma cardiologue. Ligne toujours occupée ou qui raccroche avant d'avoir décroché. Deux semaines plus tard, j'ai réussi à la joindre et j'ai pu avoir un nouvel anticoagulant qui ne donne pas de troubles digestifs. Ouah ! Génial ! Une solution ! Mais une semaine après, douleur abdominale diffuse sur tout l'abdomen ! M'empêchant de dormir ! Comme je n'étais pas chez moi, j'ai mis fin à mon séjour pour, dare dare, prendre les choses en mains. Et là, j'ai filé à la pharmacie pour demander conseil et ce qu'il fallait pour traiter une nouvelle occlusion. Cela ne faisait pas une semaine que je prenais le nouvel anticoagulant, mon intestin n'avait pas eu le temps de se remettre de ses émotions. C'est alors que j'ai eu la chance de tomber sur une jeune pharmacienne qui a évoqué la possibilité d'avoir en plus, un bouchon plus haut, ce qui correspondait bien à mes observations depuis plusieurs mois. Voilà ! Problème enfin résolu ! Mon microbiote va pouvoir s'épanouir !!! 😀 Tout devrait bien se passer désormais, avec un petit temps d'adaptation, y a pas photo, je me sens mieux maintenant !!! Cure de pastèques, melons, concombres, courgettes... et pruneaux. Infusions etc.

Je publie ces derniers détails car je suis très loin d'être la seule à avoir vécu ce type "d'incident". Fécalome et plus...  Et comme vous le voyez, il n'y a pas que les traitements de psychiatrie qui sont concernés, et c'est encore plus dramatique chez les personnes âgées, et chez certains moins jeunes... De la transversalité dans toutes les spécialités, ce ne serait pas un luxe ! Suivez mon regard !

Bref, si on veut s'occuper de notre microbiote, il serait très important de protéger son habitat ! De l'hydrater par exemple, entre autres ! Et ne pas le déshydrater ! Dieu sait si c'est important pour notre survie !

Parce que j'ai retrouvé un staphylocoque dans les résultats d'analyses biologiques de mon parcours, je me suis souvenue qu'avant ma première décompensation en 1976, cela faisait déjà quelques années que je tentais de me débarrasser d'une furonclose chronique attrapée sur les bancs de l'Université, et que juste avant, j'ai eu une horrible bronchite, qui m'a valu la location d'un compressseur pour diffuser les produits dans mes bronches... Le moins que je puisse dire est que l'appartement que je louais alors dans un immeuble du Moyen Age en bord de Saône, était tellement humide, que lors d'une crue, les remontées d'eau ont dessiné une tête de lit sur le papient peint, derrière la mienne. J'avais solutionné la chose en décollant le tout, remplacé par une peinture acrylique !!! Je ne crois pas que c'était aussi imperméable que ça ! Avec le recul, j'en ris ! Faut le faire !!!🤣

Voilà, j'ai tout dit, ou presque. La suite n'est pas de mon ressort.

Plus jamais de chaussures sur les bancs, SVP !

On croise les doigts ! Et puis, s'il le faut, je referai une petite cure d'Ergyphilus plus !

Vivent les probiotiques et le microbiote !

A dire vrai,  je serais bien contente de pouvoir faire tous les mois pendant 1 an par exemple,  une NF numération de formule et une CRP pour vérifier ma thèse, que les symptômes sont absents si les 2 paramètres globules blancs et CRP sont dans la normale. 

Qui veut me donner un financement pour cette étude ? 🙂